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#Posté le mardi 27 janvier 2009 19:19

Modifié le mardi 27 janvier 2009 20:11



Ma vie s'est faite splendide de ta rencontre.





Bien sûr, je pourrais abandonner, te laisser partir comme tu es venu, ne plus chercher à y croire. Ce serait beaucoup plus simple, de faire comme si tu n'avais jamais existé, comme si tu n'avais pas effleuré mon coeur. Mais j'ai choisi de laisser fleurir nos retrouvailles dans un coin de cette maison qu'on appelle espoir. Il n'y a pas de saison plus propice qu'une autre à cette culture, il faut s'armer de patience, d'envie, et savoir te retenir de quelques mots. Ma folie est à l'image de ma peine, tu n'imagines pas ce qu'il m'a fallu de force pour te l'avouer, te dire que sans toi, rien ne sera vraiment plus pareil. Quelque part, j'ai déjà ressenti ce manque, cette place si petite que vous avez choisi de me donner les uns après les autres, je m'y suis habituée, ne sachant plus comment dire non, j'ai ri de toutes vos indécisions, j'ai gardé silence comme amant lorsque vous décidiez de vos départs, j'ai tout accepté, et j'ai tant attendu que j'en ai oublié que certains m'attendaient à côté. Et toi comme les autres, tu me laisses t'attendre, te donner du temps, écouter tes blessures qui suintent la peur. Bien sûr, je t'espère différent dans la mesure où j'ai envie de croire que tu me laisses t'attendre parce qu'un jour tu seras là. Je vis tes incertitudes comme si elles étaient miennes, j'apprends ta douleur et dès lors je la souffre à mon tour. Déjà trois jours, et ton absence me poursuit, blesse mes rétines, abîme ma bouche, étouffe mes larmes, charme mes doigts, et vient se briser à mes pieds. L'absurdité de tes raisons donne à penser qu'elles en cachent d'autres, ou bien alors sont-elles juste de pieux mensonges qui viennent endormir envies ? Je me suis égarée dans ta contradiction, j'ai perdu mon chemin, et en même temps certains de mes rêves. Je ne sais plus vraiment qui je suis, ni comment je t'aime, avec quelle fougue, avec quelle couleur, de quelle clef, sur quel tempo. Je ne sais plus, je suis un peu comme Rose, et mes allées s'éteignent entre les camélias. J'aimerais être un peu plus forte, un peu moins triste, un peu plus vivante. J'aimerais ne pas avoir besoin que tu reviennes encore, j'aimerais savoir que sans toi, ce n'est rien, tout ira bien. Seulement, tu es ce mec qui m'a promis le bout du monde, tu es ce petit garçon qui m'a confié ses peines, tu es cet homme qui m'a aimée le temps de. Je n'invente rien, j'ai seulement oublié de me mentir. J'ai vécu la même histoire que toi, mais à ton contraire je l'ai laissée me vivre de ses plus tranchantes vérités. Ne crois pas que c'était simple, il a fallu dire adieu à hier, fermer les yeux, avancer dans le noir, courir sur un fil, oublier la peur du vide. Et encore ce soir, il me faut croire qu'au bout il y aura un feu de joie où nous ferons brûler nos rêves entre quelques bouteilles de champagne...

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#Posté le mercredi 21 janvier 2009 19:06

Modifié le jeudi 19 novembre 2009 12:26









Ciel rouge de ce coeur qui pleure, de ces yeux qui saignent. Ciel rouge à l'image des armes qui ont trouvé une cible dans la nuit. On n'imaginait pas la douleur, on ne savait pas les couleurs, on. Je sans toi. Il y a des parties que nous avons perdues avant même d'avoir lancé le dé. Comment écrire la peine alors qu'on la connait si bien ? Elle te réduit au silence, encore une fois. Et j'aurais pourtant tellement aimé que mes envies se fassent reines, mais sur le trône il n'y a que ton regard pour porter la couronne. Tu es seul prince de cette histoire, tu as si bien enchaîné les virgules que j'ai perdu souffle, perdu pied, perdu vie, perdu espoir. Même pas vingt ans, et déjà le vide qui s'impose à nous, épris des sanglots qui toujours nous secouent jusqu'à nous étouffer. Je t'aurais promis une danse sans fin, une valse lente pour que tu ne trébuches pas, un tango sans peur, un rock endiablé pour oublier l'enfer du décors. Mais déjà souvenir se trame laissant à hier le corps à corps. As-tu jamais été assez là pour partir ? Je ne sais pas, je ne sais plus. J'ai toujours exploré l'adrénaline de travers, et sur mes joues ils ont glissé des larmes indélébiles. Est-ce que moi aussi j'ai brisé des coeurs ? Est-ce que sans le savoir j'ai fait autant de mal ? Ai-je moi aussi enfoncé le couteau trop violemment ? J'ai tant de fois oublié de haïr, oublier d'aimer, oublier de ressentir les mots qu'on ne dit pas. Ceux-là même qui pourtant sont si évidents.
Ciel rouge de ces larmes qui ne battent plus, de ce coeur qui se noie bien plus qu'il ne coule. Ciel rouge à l'image d'une cible qui a cherché ses armes dans la nuit. Le souvenir d'une chambre d'hôpital, d'un vieillard qui n'en est pas un, d'un cou autour duquel on a passé la corde, le souvenir des gens qui partent, qui ne se battent plus, le souvenir d'un flingue posé sur la table, de battements saccagés, d'amours égarées, comme ces gares où on a trop trainé nos âmes, comme ces quais que l'on a accumulé au rythme des voyages. Des allers, sans retours. Des départs sans même se retourner, sans un signe pour dire à bientôt. Et cette rancoeur qui reste, qui s'installe, dérobant nos derniers sourires. L'envie d'y croire s'habille d'une robe noire, se maquille d'un à jamais, l'adieu a retenti sans qu'on ne l'attende. Mais hier ne compte plus, j'aurais tant aimé demain à tes côtés, mais c'est fini n'est-ce pas ? Je ne pourrais plus glisser ma main dans la tienne ? M'endormir bercée par ton coeur ? Plonger le mien dans tes yeux ? Je ne pourrais plus t'aimer sans le dire ? T'attendre d'un sourire ? Sentir la chaleur de ton souffle dans mon cou ? Te serrer jusqu'à n'en plus respirer ? Je ne pourrais plus oublier de fumer en consumant le bonheur d'être à deux ? Je ne verrais jamais plus l'envie d'aller plus loin entre tes cils ? Tes lèvres ne s'étireront plus vers le ciel puisque tu n'effleureras plus ma peau ? C'est fini n'est-ce pas ? Si je suis à deux doigts de tomber, c'est juste que quelque part j'ai en dernier espoir que tu ouvres les yeux. Mais les ouvrir pour quoi ? Ma sacoche se vide de tous ces rêves qu'on portait en bandoulière. Oublier de partir, encore. Etre celle qui reste, toujours.
Ciel rouge de ce corps inerte, que plus rien ne traverse. Ciel rouge, la foule s'invite à mes pieds, cendres d'un décembre déjà usé. Ciel rouge, et. Plus rien.








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#Posté le lundi 12 janvier 2009 03:46

Modifié le jeudi 19 novembre 2009 12:26

"On peut dériver loin du bonheur, hésiter, ou juste être trop occupé pour le remarquer. "











Cette année aura commencé dans un étrange désarroi. J'ai perdu ceux que j'aimais en cours de route. J'ai fui toutes mes plus belles histoires, pour me perdre dans des vices trop nombreux. A boire un peu trop souvent, à finir dans leurs lits sans vraiment en avoir envie. Je me suis perdue en cours de route, mais pour la première fois, je n'ai pas cessé de sourires. A chaque affront je trouvais un rêve dans lequel me réfugier, je me suis inventée une carapace, me promettant que plus jamais je ne tomberais. J'ai tourné cette page qu'on appelait amour, je t'ai abandonné à tes peurs, puisque tu ne savais plus m'ouvrir ton coeur. J'ai flanché certains soirs, bien sûr, mais j'ai su toujours trouver une étoile à laquelle me raccrocher. Je suis devenue si forte de vos départs, vivante de ces douleurs qui m'ont appris à mettre un pied devant l'autre. Certains jours, je cheminais sur les mains, histoire de changer d'aventures, de point de vue, et peut-être même d'envies. J'ai joué de ces folies qui n'appartiendront jamais à aucune autre, j'ai échoué sur certains plages où la vie s'allumait pour le meilleur. Il y aura eu ces nuits dans ce double duo, ces vadrouilles en clio, ces coups de tête qui nous ont marqué à vie. Il y aura eu tant de fous rires, de larmes, de désirs, et jamais je n'ai été plus belle de vos retours. Nous nous sommes retrouvées en Mars, en Juillet et même en Août, et la vie s'est faite splendide de vos regards, vous lui inventiez cette robe de patience. Nous avons laissé les rancoeurs à hier, sans oublier ce qui nous avait éloignés. Il y aura eu tant de coups de coeur, et si j'ai perdu mes yeux trop souvent, j'avançais dans le noir à l'aide de vos mains gantées de ces liens incroyables. Et puis il est arrivé, et sous son regard ma carapace a fondu, il n'en reste plus que quelques miettes, je me suis jetée un peu trop vite dans la gueule du loup, et lui me laissait croire en un bonheur qui jamais n'existerait. Deux mille huit, où mon coeur jeté aux abîmes. Les oubliettes dans la poche de ma veste en cuir, j'essaie de grandir, mais les talons n'y font rien, je reste coincée dans les mêmes excès, j'aime toujours de travers, et l'enfer du décors n'a jamais été plus somptueux d'indifférence. Mais ne t'en fais pas, je n'ai plus peur, mes folies perdent pied sur ta bouche, l'inachevé s'étire entre nous, nous enchaînons si bien les virgules que nous nous perdons dans un sprint qui n'en finit plus d'être libre, un peu comme cette chute à laquelle tu m'abandonnes. Mais ne t'en fais pas, je n'ai plus peur. Au fond, deux mille huit finit comme elle a commencé, avec pour meilleure amie cette haine que tu me portes.














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#Posté le mercredi 31 décembre 2008 10:45

Modifié le jeudi 19 novembre 2009 12:26

Tu ne le sais pas encore, mais hier nous avons fait l'amour. Tu m'embrases de tes plus beaux silences, nous changeons de danse, les pas se font plus lents, et nos corps se serrent, ton coeur est cet étau que je ne peux plus quitter. Tu as posé le point de non retour, et si la fierté est pour sa part revenue trop vite, elle nous a laissés le temps d'une confession. Ca n'a plus rien d'une histoire de fesse, les peurs sont trop nombreuses, nos âmes trop à l'étroit. Tu t'es raconté des histoires, oubliant que tu avais déjà semé les premières pierres. Si tu m'abandonnes maintenant.

L'angoisse ne nous lâche plus, nous colle les talons, usant nos foulées, elle ne perd pied que dans nos coeurs. D'enfants seuls. Tu étais mon pont, et voilà que tu as choisi d'habiter tout un continent de falaises, les chemins y sont étroits, et si jamais je devais arriver à destination, il faudrait alors que tu sois fort pour deux. Vaincre tous tes démons n'est pas une mince affaire, et le conte de fées s'éteint en même temps que la neige fond. Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine, pourtant nous nous aliénons à un sprint comme si.

Je suis cette tâche à ton tableau. Et comme la mer je monte et je descend, je suis un cycle irrégulier, un cercle triangulaire, une droite tordue. Nous nous cognons aux mêmes envies, et dès lors tu empreintes les plumes d'Omère comme si tu pouvais voler vers ailleurs. Mais ailleurs je suis toujours là, tu ne quittes jamais la gare, tu ères de quai en quai, mais aucun abri ne te sauve de nos rencontres. Tu ne pourras pas fuir éternellement, et quelque part tu le sais si bien, tu me laisses te rattraper de temps en temps, pour que je ne me lasse pas. Et lorsqu'il fait trop froid, tu viens réchauffer mon sourire de quelques frissons. Ta peau effleure mon âme, et visser vers ça. Lorsqu'il fait trop froid, tu recouvres mes larmes de quelques regards, tu viens m'habiter le temps de quelques insomnies, tu allumes un feu, m'ouvre la fenêtre, et comme une évadée j'entre dans ton monde, le temps de. Après il faut toujours partir, redevenir prisonnière de l'excès. Repousser toutes les limites, et t'oublier sans y arriver. Faire semblant, s'évanouir sous leurs yeux inquisiteurs, se faire usurpatrice de la haine, jouer des je t'aime. Moi non plus. Nous courons à notre perte, mais il pourrait rien rimer avec bonheur. La folie se fait belle de nos contradictions. Et si tu passes trop souvent, je mise toujours mon coeur, pour mieux viser le tien.
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#Posté le mercredi 24 décembre 2008 05:12

Modifié le jeudi 19 novembre 2009 12:27

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